Aspects pratiques, les séismes, (fotos)

 

Le grand « S » vert : dans les lieux ouverts au public, il y a ce panneau qui indique l’endroit où se réfugier en cas de tremblement de terre (zona segura en casos de sismos = zone sûre en cas de séisme). Il se situe sous un renfort de structure du bâtiment ou au passage d’une porte d’un mur porteur. Moins souvent, nous avons vu aussi ce « S » à l’extérieur en des lieux éloignés des murs qui pourraient s’effondrer. Sur les portes d’ascenseur, il est également rappelé l’interdiction de les utiliser en cas d’incendie ou de séisme.

Le 30 mai était journée nationale de prévention des séismes. En effet, le dernier tremblement majeur a eu lieu en 1970 et le pays craint un nouveau tremblement de terre après 40 ans de calme. Ce jour-là, toute la population était invitée à faire des exercices de sécurité (comme nous le faisons nous-même avec les alertes incendie en entreprise, occasion inespérée pour certains de… griller une petite cigarette, hi, hi). Nous n’avons pas assisté à ces exercices car nous étions ce jour-là en vadrouille. Mais dans le centre ville, des fanions « zona de riesgo » (zone de risque) étaient apposés sur les murs des maisons et édifices. Cette journée nationale de prévention a été l’occasion d’exposition photos rappelant le violent tremblement de terre de 1970.

Pour info, nous n’avons pas eu de tremblement de terre durant notre voyage. Il est vrai que 15 jours avant notre départ pour le Pérou, un fort tremblement avait eu lieu au nord du Chili et  cela a sans doute contribué à limiter les tensions entre la plaque de Nazca (coté Pacifique) et la plaque sud américaine (coté continent) pour un temps.

En bord de mer, nous avons également rencontré un panneau d’information « ruta de evacuación » en cas de tsunami (les tremblements de terre pouvant créer ces grandes vagues qui déferlent sur terre).

Foilà, foilà,
Besitos

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