Pukura de Quitor, sos (fotos)

Pukura de Quitor, sos (fotos)

Coucou, ca va, ta boite à lettres ne déborde pas trop d’images, j’en envoie encore quelques unes… Ici, photos du site de Quitor, à trois kilomètres à pied de San Pedro.

Pukura de Quitor, vue générale

Cela paraît très peu à coté des kilomètres en bus mais, sous un soleil dur et intense, il n’est pas facile de marcher, de monter. Il fait de plus en plus chaud et pas un poil d’ombre pour se reposer les yeux.

D’ailleurs, mon compagnon de voyage a eu une légère insolation : il a décidé de pousser les murs des vestiges incas… tu penses bien qu’il n’y a pas réussi, ces murs sont là depuis si longtemps.

Par contre sa bravoure  a permis de retenir les ruines, la colline et la cordillère des Andes toute entière : eh oui, il n’y a pas eu de tremblement de terre à San Pedro grâce à lui pendant tout notre séjour dans ce désert haut perché.

Dans 20 jours, les jours rallongent ! Tiens bon !

Bisous, besitos, bisous

ps : les désagréments physiques à San Pedro dus à l’altitude (2500 m) et à la luminosité mais surtout à la sécheresse de l’air du désert : les yeux qui pleurent, qui pleurent. Non, ne ris pas, c’est terrible à pied mais c’est carrément dangereux en vélo, sur des chemins défoncés, je ne voyais rien. Et aussi, les veinules du nez qui lâchent et l’air frais de la nuit qui te paraît  brûlant, je dormais parfois sous le drap pour humidifier un peu mon air à l’inspiration avec la buée de l’expiration.

Non, vraiment, c’était un voyage très physique, nous étions limites !!!

 

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