La ville et les chiens : les chiens, (fotos)

La ville et les chiens : les chiens, (fotos)

Au Pérou, les chiens sont assez peu présents dans les rues et ils sont plus au moins nombreux selon les villes.

C’est à Cuzco que nous en avons aperçu le plus. Généralement, ils se déplacent seul ou en petit nombre mais ils ne sont pas agressifs. Au contraire, ils sont craintifs envers l’homme (et la femme… l’origine de mon grand désamour pour la grammaire vient peut-être de cette règle arbitraire qui veut que le masculin l’emporte sur le féminin).

 

Le péruvien semble être indifférent à eux bien qu’ils aient la fâcheuse habitude de manger dans les poubelles en éventrant les sacs.

 

 

Certains sont même bienveillants avec les chiens car on trouve parfois une assiette de restes de nourriture sur le trottoir qui leur est visiblement destinée.

En fait, on a l’impression que ces chiens sont perdus, sans colliers et qu’ils n’ont pas de propriétaire. Pourtant, la municipalité de Cuzco lance des campagnes gratuites de stérilisation en s’adressant aux maîtres ( voir l’affiche).

 

 

Voilà, je te parle des chiens dans la ville et j’ose même écrire que ce sont des chiens perdus sans collier et les amis hispanophones se grattent la tête de perplexité. C’est normal puisqu’ils ont  la puce à l’oreille : est-ce un hasard, le titre de ce message…

En fait, non. Car c’est bien de littérature que je souhaite te parler ! « La ville et les chiens » est le titre d’un roman de Mario Vargas Llosa (prononcer liossa) grand écrivain péruvien. Oui, on peut considérer que mon introduction à la littérature péruvienne est un peu gonflée mais après tout, qui sait si ce ne sont pas ces scènes de rue qui ont inspiré le titre à l’auteur !

Suite au prochain numéro.

Foilà, foilà,

Besitos

 

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